Vacances

Les Bas Côtés seront fermés jusqu'au
mardi 8 janvier

à bientôt

Brocante de livres

Bonjour,
le samedi 8 et dimanche 9 décembre, aura lieu aux Bas Cotés
de 9h à 18h une brocante de livres.
Des livres neufs et d'occasions  sur plusieurs stands.
Avec la possibilité de ce poser et feuilleter les ouvrages, en buvant un coup ou en en mangeant.

Brocante de livres
samedi 8 et dimanche 9 décembre
9h-18h

Exposition sur l’immigration sicilienne à Grenoble

Entre 1911 et 1931, près de 12000 Italiens ont quitté leur pays pour Grenoble. Particulièrement concentrée sur les quartiers Saint-Bruno, Saint-Laurent et à Fontaine, l’immigration italienne a fortement marquée Grenoble, et il n’est pas rare d’entendre parler italien dans la rue à Fontaine...
A l’occasion de la sortie aux éditions Le monde à l’envers du livre "Disgrazia !" qui traite de l’immigration sicilienne et du quotidien des classes populaires dans les années 1920, 1930 et 1940 à Grenoble.
Le 13 novembre à 18h, vernissage de l’exposition "Disgrazia !", avec des planches originales du livre. A la maison des habitants (centre social) Chorier Berriat, rue Henri le Chatelier , Grenoble
L’exposition est visible du lundi au vendredi, du 5 au 23 novembre 2012. Entrée gratuite.
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C’est une bonne guerre qu’il nous faut

À l’appel de la Fédération européenne de l’industrie et de la CGT, nous manifesterons le 9 octobre 2012 pour l’industrie, pour l’emploi et pour des mesures de relance exceptionnelles - à Lyon à 11h place Jean Macé – comme à Paris, Bordeaux, Marseille, Epinal, Rennes, Toulouse.

La France et l’Europe traversent une crise sociale et économique sans précédent. Chômage de masse, précarité, dette publique, écroulement des services publics, désindustrialisation : si rien n’est fait, c’est tout notre modèle de développement qui s’écroulera, repoussant pour longtemps la perspective d’un retour durable de la croissance. Pourtant on connaît la voie à suivre : « un emploi dans l’industrie génère 3 à 5 emplois dans les services et la sous-traitance qui permettent, par la consommation des salariés, d’alimenter l’économie, donc le développement industriel et l’emploi » (CGT Isère). Pour que l’homme soit véritablement au service de l’économie, il faut des mesures de relance industrielle à la hauteur de la crise actuelle.
Nous devons tirer les leçons de l’Histoire. Il y a un siècle, l’économie française a connu un formidable bond en avant, son industrie une véritable révolution. Voyez l’essor de la région grenobloise dans les années 1915-1916 : aménagements hydroélectriques, boum dans la construction mécanique, floraison des sites électro-chimiques. Matériel électrique, explosifs, coton nitré, papier à cartouche, obus, chlore et phosgène comme gaz de combat, magnésium pour l’artillerie. Que seraient devenus la métallurgie de Bouchayer et Viallet, le chimiste Progil, les usines Bergès, les pâtes Lustucru, les biscuits Brun sans la Première guerre mondiale ? Les statistiques sont formelles : « En 1914, Grenoble compte 15 000 : ouvriers ; en 1931, le nombre aura plus que doublé : 31 000. La guerre aura eu un effet stimulant. » (1)
Toulouse, autre technopole aujourd’hui à la pointe de l’innovation, a connu le même phénomène : l’effort de guerre « a suscité la création de toutes pièces de puissants complexes industriels » (2), dont les fleurons actuels de l’aéronautique ou de la chimie sont les descendants directs.
Même stimulation bienfaisante pour l’innovation, l’industrie nationale et l’emploi en 1939-45. À Grenoble, les laboratoires - ferromagnétisme, aérodynamique, hautes fréquences, électrostatique, etc – servent le complexe militaro-industriel pour le profit des salariés. Ne l’oublions jamais : c’est grâce à la collaboration des chercheurs avec l’armée, dans les années 1940, que la capitale des Alpes est aujourd’hui la Silicon Valley française, et offre à des milliers d’ingénieurs, techniciens, cadres, opérateurs de salle blanche, un emploi et un avenir. Six années de conflit pour Trente Glorieuses.
Tandis que notre croissance agonise, il faut rappeler cette vérité : l’économie et la guerre ne sont que la poursuite incessante, infinie et réciproque de l’une par l’autre.
C’est pourquoi nous lançons aujourd’hui un appel solennel aux forces vives, aux progressistes, au mouvement social. Pour nos emplois et ceux de nos enfants, pour la réindustrialisation de la France, pour son redressement productif et moral, c’est une guerre qu’il nous faut.
Le « redressement productif » ne suffira pas - pas plus que le New Deal en son temps. Rappelons que le programme du président Roosevelt dans les années 1930 fut un échec économique. Malgré l’interventionnisme de l’Etat (grands travaux, contrôle des banques, subvention de l’agriculture, soutien aux syndicats et aux mouvements de consommateurs, protection sociale), 17 % de la population active américaine pointait au chômage en 1939. (3) « La production industrielle ne repartira qu’en 1940. Au moment où les Etats-Unis se réarmeront pour préparer leur entrée en guerre. » (L’Usine nouvelle, 2012)
Voyons les choses en face. Au sein de l’Union européenne, l’Allemagne méprise la solidarité entre membres, favorisant ses intérêts nationaux contre les autres pays. La Grèce est à genoux, l’Espagne, le Portugal et l’Italie au bord du gouffre, et l’impérialisme allemand impose sa politique d’austérité qui nous conduit à la catastrophe. Jusqu’à quand subirons-nous ce diktat ?
De son côté, la Chine nous inflige un dumping social insupportable, bafouant les droits des travailleurs comme ceux de la propriété industrielle et de la concurrence. Délocalisations, contrefaçon, exploitation : allons-nous tolérer davantage les abus sans limite des Chinois ?
Contre la Chine, avec nos alliés de l’OTAN, ou contre l’Allemagne, avec la Grèce, un conflit est envisageable. Ce ne sont ni les motifs, ni les occasions qui manquent. Songez aux retombées économiques ! La tentative du président Obama de renouveler l’expérience du New Deal – rebaptisée Green New Deal pour intégrer les nouvelles contraintes environnementales – est vouée à l’échec. Les énergies renouvelables, l’isolation des bâtiments, les biocarburants, la voiture électrique, s’ils permettront la création certaine d’emplois, ne fourniront pas l’électrochoc nécessaire à l’économie. Comme en 1939-45, seul l’effort de guerre relancera l’industrie. Avec Mélenchon pour le Rafale, avec Montebourg pour le patriotisme économique, soutenons la seule relance véritable !
Grenoble, dont les « nombreux laboratoires, centres de recherches et universités […] constituent une source inépuisable d’innovations dans laquelle la Direction Générale pour l’Armement pioche régulièrement » (4) , serait à la pointe de la mobilisation, avec des milliers d’emplois à la clé.
Chez Thales, soumis aux menaces de fermetures, on retrouverait le bénéfice d’être « leader mondial des hautes technologies sur les marchés de l’aéronautique, de l’espace, de la défense, des transports et de la sécurité » : un conflit offrirait des débouchés à nos armements de pointe. Imaginez les performances de Scorpion, le programme de numérisation du théâtre d’opérations que le groupe pilote pour l’armée française ! Sans oublier ses systèmes d’identification biométrique, de cryptage de données, de contrôle d’accès made in France. Nos fleurons high-tech donneraient leur pleine mesure. STMicroelectronics, le CEA et les start-up de micro et nanoélectronique équipent déjà nos troupes (programme Félin - Fantassin à équipements et liaisons intégrés) et les systèmes de communication et de traçabilité (RFID, capteurs, poussières intelligentes) ; Memscap fournit les meilleurs capteurs de pression à l’Eurofighter et au Super Puma 1, et des Mems pour le guidage des armes ; les détecteurs infrarouges de Sofradir, qui équipent l’armée française, ne manqueraient pas d’être déployés, de même que les biopuces d’Apibio pour détecter les attaques bactériologiques. Qu’on songe aux salariés de Rio Tinto, en Maurienne, d’Ascométal au Cheylas, et à toute la filière aluminium, à qui un cycle guerre/reconstruction redonnerait l’espoir d’un véritable redressement productif.
Pensez aux chantiers par dizaines ! Une aubaine pour les salariés du BTP et de Caterpillar, aujourd’hui menacés. Enfin le renouvellement urbain ! Une vraie chance de reconstruire la ville sur la ruine, de bâtir des smart cities avec des éco-quartiers connectés et intelligents, de moderniser les réseaux de transports et d’énergie, de remplacer les compteurs électriques par des Linky ! de donner un nouvel élan au programme nucléaire français (surgénérateurs, ITER), de propulser la ville globale dans le XXIe siècle !
Quant à nos soldats et aux civils touchés par la guerre, nos neurotechnologues les prendront en charge. Les mutilés testeront les nouvelles interfaces homme-machine et les exosquelettes mis au point à Clinatec, notre clinique du cerveau unique au monde. Leurs souffrances permettront les progrès de la bionique. Clinatec pourra tester ses implants neuro-électroniques contre la dépression et les troubles de l’humeur à grande échelle : quelle meilleure image pour nos savoir-faire locaux, dans le monde entier !
Chacun doit se convaincre que l’économie n’est pas faite pour l’homme, mais l’homme pour l’économie, et se demander ce qu’il peut faire pour celle-ci. Nous invitons tous ceux qui croient au redressement productif de la France à se joindre à la manifestation du 9 octobre, à signer et à diffuser cet appel.

Premiers signataires
- Les Amis de l’Egalité (Blois - lesamisdelegalite.org)
- Les Bas-Côtés (cantine-librairie - lesbascotes.blogspot.fr)
- Libellud (Libertaires et Luddites de Grenoble)
- Pièces et main d’œuvre (atelier de bricolage pour la construction d’un esprit critique - piecesetmaindoeuvre.com)


NOTES
- 1) cf. 50 millions de Grenoblois. Claude Glayman. Préface de Pierre Mendès-France. 1967. Ed. R. Laffont
- 2) Les conséquences économiques et sociales de la Première guerre mondiale à Toulouse (1912-1922), Anne Alonzo, 2009, Ecole des Chartes
- 3) André Kaspi, Franklin Roosevelt, Fayard, 1988
- 4) Le Daubé 3/04/01

Rentrée

Bonjour,
la rentrée des Bas Cotés se fera le mardi 28 Août
dés 9h00

contre le recensement

À l’occasion de la sortie de l’ouvrage "Contre le recensement", les éditions Le monde à l’envers vous invitent à une DISCUSSION
A quelle époque est né le recensement ? Quelles sont les racines – militaires, policières, gestionnaires – de cet instrument étatique ? Applications émancipatrices ou répressives, le recensement et les statistiques ne participent-t-ils pas d’un monde déshumanisé, ou les individus ne sont que des rouages du Monde-Machine, de simples objets appartenant à l’Etat ? Comment les luttes contre le contrôle des populations peuvent-elles tirer des enseignements de ce cas particulier et exemplaire ?
Nous vous invitons à venir en discuter le MARDI 12 JUIN, de 19h à 21h,

Mouvement pour l’abolition de la carte d’identité « Contre le recensement. La police, ce n’est pas ce que vous croyez » Editions Le monde à l’envers. Mai 2012. Trois euros. ISBN 978-2-9536877-6-7. Cet ouvrage est disponible en librairies et aux Bas-Côtés.
 Lisible en ligne : ici
Le site de la maison d’édition

Il n'y a pas que Notre Dame des Landes

 
une journée de mobilisation contre le projet ferroviaire Lyon-Turin aura
lieu samedi 9 juin 2012 à Chambéry.

- A partir de 11h00, rassemblement convivial et informatif au Parc du
Verney à Chambéry. Casse-croûte et stands des associations 
et collectifs luttant contre le Lyon-Turin en France.

- A 14h00, départ du parc du Verney pour une manif-diffusion 
massive de tracts dans les rues piétonnes de Chambéry.

Venez nombreux.ses montrer que en France aussi, contre le TAV, "A sara
Dura !"
Non à la ligne ferroviaire Lyon-Turin
Ni ici, ni ailleurs !

Moutons 2.0

La modernisation de l’agriculture d’après guerre portée au nom de la science et du progrès ne s’est pas imposée sans résistances. L’élevage ovin, jusque là épargné commence à ressentir les premiers soubresauts d’une volonté d’industrialisation.
Depuis peu une nouvelle obligation oblige les éleveurs ovins à puçer électroniquement leurs bêtes. Ils doivent désormais mettre une puce RFID, véritable petit mouchard électronique, pour identifier leurs animaux à la place de l’habituel boucle d’oreille ou du tatouage. Derrière la puce RFID, ses ordinateurs et ses machines il y a tout un monde qui se meurt, celui de la paysannerie.
Dans le monde machine, l’animal n’est plus qu’une usine à viande et l’éleveur un simple exécutant au service de l’industrie. Pourtant certains d’entre eux s’opposent à tout cela …

Projection du film de Antoine Costa et Florian Pourchi 

Moutons 2.0, la puce à l'oreille , http://www.mouton-lefilm.fr/

En présence des réalisateurs Mercredi 30 mai 20h
entrée libre et Buffet prix libre dès 19h

Ouverture Samedi

Bonjour,
à partir du 28 avril, Les Bas Côtés seront
ouvert le samedi pour le repas du midi et fermés les lundi

à bientôt

L'enfer vert


L’Enfer Vert

Un projet pavé de bonnes intentions


A Grenoble, Lille ou Nantes, les écotechs Verts se présentent - à juste titre - comme les meilleurs gestionnaires du système, les plus compétents, les plus experts candidats à la direction de ce Green New Deal qu’ils revendiquent. Bref, la meilleure et peut-être l’ultime chance d’un capitalisme reverdi. Depuis les dernières élections régionales et grâce à la mise en place d’une machine électorale enfin rôdée aux manigances politico-financières, leur bureaucratie ne se tient plus en vue des postes ministériels, administratifs, de sénateurs ou de députés, si longtemps convoités. A Lille, ils instaurent la gestion de la vie quotidienne par puces RFID, au Conseil régional Rhône-Alpes, ils ont soutenu le projet de TGV Lyon-Turin. Il n’est pas jusqu’à la catastrophe de Fukushima qui ne serve leurs appétits, lorsque dans leurs négociations avec la social-technocratie du PS, ils bradent la fermeture des centrales nucléaires contre un supplément de députés.


On vous parle donc de partout, du techno-monde unifié par l'économie. Il s'agit d'une dictature technique au nom de l'urgence écologique. Laquelle utilise l'effondrement de la société, du lien social jusqu'à la biodiversité, pour justifier son emprise totale. Elle n'est pas le fait d'une droite dure. Néolibérale. Non, ils sont du bon côté du manche. Ils ont leur conscience pour eux. Ils œuvrent pour sauver la planète et en plus ils ont tout bon : ils écoutent de la musique de jeunes, ils ne sont pas contre un petit joint, ils promeuvent la diversité et la parité, ils ont des vélos à 400 euros et ne mettent pas de cravate. Ce sont des ambitieux, taillés pour la gestion des affaires, qui n'ont quasiment jamais milité ailleurs que dans les bureaux de la technocratie. Ils sont les meilleurs gestionnaires dont le techno-capitalisme a besoin pour survivre à ses propres méfaits, pour renouveler ses marchandises et son discours. Ils sont peut-être sa dernière chance. Ils sont l'avant-garde du système qui commence d'ailleurs à le comprendre. Aujourd'hui, aux présidentielles et ailleurs, ils sont l'ennemi immédiat, nos meilleurs ennemis en ce qu'ils sont les pires ennemis de nos libertés, de notre autonomie, et finalement de la nature. Les Verts sont devenus les co-gestionnaires d'un désastre qu'ils souhaitent le plus durable possible. Leur néo-collectivisme a cela de dangereux : il se veut le gouvernement total des « humains », des « non humains », et de leurs « interactions ». Ils réifient le « cosmos » pour mieux le « sauver ». Leur seule ambition « politique » n'est que d'opposer une technique (par exemple la voiture) à une

autre (par exemple le métro). Les causes des nuisances, le système de production et d'aménagement industriel, autoritaire et centralisé, si elles peuvent parfois être questionnées, ne sont là que pour cautionner leur technolâtrie. Les questions essentielles, et réellement politiques celles-là, de nos besoins matériels et, finalement, de la vie que nous voulons, ont disparu des discours écologistes, si elles y avaient jamais figuré.

À Lille déjà, le service de collecte des ordures ménagères fouille les poubelles des habitants pour mettre à l’amende les mauvais trieurs, identifiés par leurs déchets. Demain, ce sont nos résidus d’existence que les éco-technocrates vont inspecter, trier et valoriser pour nous plier au Nouvel Ordre Vert.

7e Café luddite de Grenoble

présentation de L'enfer Vert, un projet pavé de bonnes intentions

(éditions Badaboum, 2011)

en présence de l'auteur, TomJo

Vendredi 20 avril 20h00 entrée libre

Le son comme arme

Vendredi 23 mars à partir de 20h00
Juliette Volcler qui écrit , entre autre, dans Article 11 et CQFD, viendra présenter son livre le son comme arme la découverte 2011
Ce livre retrace l'évolution des armes dites non létales (qui ne tue pas) mais qui font très mal au oreilles.
Car les oreilles n'ont pas paupières

Vendredi 23 mars 20h00
entrée libre

http://www.article11.info/
http://www.cqfd-journal.org/

Contre l'école numérique

Cahier de textes numérique, ordinateur dès la maternelle et tablettes tactiles dans les classes, « tableau numérique interactif », livret de compétences numérique pour les élèves, classes virtuelles : désormais l’école doit fonctionner avec l’informatique.

Après l’agriculture, l’industrie et les services, c’est au tour des activités qui trouvent leur essence dans le lien humain d’être mécanisées et déléguées aux machines. L’enseignement, comme la santé ou l’aide sociale, sont censées être « rationalisés » et « optimisés » par l’informatisation.


La transmission des savoirs passe désormais par l’écran et les mondes virtuels, tandis que s’accroit la surveillance des élèves et des enseignants via les outils numériques.

Il s’agit d’adapter les enfants au monde numérique qui colonise tous les aspects de nos vies ; il s’agit aussi de livrer l’Education Nationale aux marchands d’informatique et de réseau Internet.


Comment le mouvement général de machinisation contamine-t-il aujourd’hui l’école ? En quoi la numérisation de l’enseignement contribue-t-elle à priver la jeunesse des outils intellectuels d’une pensée autonome et d’un esprit critique ?

Pourquoi et comment s’opposer à la déshumanisation de nos vies ?




Vendredi 2 mars 2012 à 20 h

à la Maison des associations

6 rue Berthe de Boissieux – Grenoble

A l'heure d'hiver

Il ne vous a pas échappé qu'il fait froid.
Tellement que les tuyaux d'eau des Bas Cotés ont gelés.
Pas d'eau pas de restau et pas de chauffage.
Si vous ajoutez à cela un fermeture prévue de longue date,les Bas Cotés ne ré-ouvrirons que le mercredi 15 février, si il fait une chaleur de 0°c.

soirée chez des amis

Bonjour,
de la pub pour les copains d'Antigone.
Ce Vendredi 20 janvier diffusion du film
"RFID la police totale "de Piéces et Mains d'Oeuvre et Subterfuge.
à 20h00 entrée libre

au plaisir de vous y retrouver

http://www.bibliothequeantigone.org/

http://vimeo.com/21667025

vendredi 20 janvier
20h00
RFID la police totale
Antigone
22 rue des violettes grenoble
entrée libre

2012 et non programmation

Bonne année 2012!

Attention ! Mardi 10, mercredi 11, et jeudi 12 janvier les Bas Cotés seront fermés pour des raisons dépendantes de notre volonté.
Mais lundi 9 janvier et vendredi 13 janvier c'est ouvert mais pas le samedi ni le dimanche.

ça ira? vous suivez?

à très bientôt