Les Barricades en soutien à CQFD

Salut à toutes et à tous,

Vendredi 17 décembre à partir de 20h, il y a un concert aux Bas Côtés. Il s’agit de la chorale de chants de lutte "Les Barricades" qui vient chanter son répertoire, en soutien au journal CQFD.

L’entrée et le buffet seront à prix libre,

Qu’on se le dise !


Encore de la zizique!

Salut à toutes et à tous,

Quand ça ? Vendredi 3 décembre à 20h pétantes.

Où ça ? Aux Bas Côtés, 59 rue Nicolas Chorier, arrêt de tram St Bruno.

Quoi ça ? Les Zbrouffes (chansons françaises) et Marco Polio (textes décalés) pour une soirée comme on a l’habitude chez nous, un peu smooth, pas trop trance.

L’entrée et le buffet sont à prix libre,

Qu’on se le dise !

Josuah en concert

Salut à toutes et à tous,

Vendredi 26 novembre à partir de 20h aux Bas Côtés on accueille Josuah en concert.

JOSUAH : Vagabond sédentaire, autodidacte déterminé, libre penseur, utopiste acharné, anarchiste gentil, joueur de guitare, écorcheur de violon, père de famille, poète à ses heures, fainéant actif, poseur de bombes mentales, déçu de l’homme, fidèle à la nature, amoureux.


Textes et poèmes fruits d’une rage de vivre, de “ce besoin de dire qui déchire les entrailles”. Des espoirs, des désillusions, des rires, des sourires...

Plus d’infos : http://www.myspace.com/josuahr#ixzz153oPtnTt

L’entrée et le buffet sont à prix libre, qu’on se le dise !

Gros Câlin aux Bas Côtés

Salut à toutes et à tous,


Vous vous souvenez, ils étaient passés ce printemps. Catherine (Violoncelle et chant) et Yannick (texte et accordéon) viennent nous jouer "Gros Câlin" de Romain Gary (alias Emile Ajar), ce vendredi 5 novembre à partir de 20h.

Entrée et buffet à prix libre, qu'on se le dise!

"J'ai toujours voulu avoir quelque chose en commun. C'est les années d'habitude, à cause du manque, qui font ça. Mais il y a la répression intérieure, pour ne pas déborder en société, comme il faut vivre dans une immense cité sans se gêner. Seulement bien sûr parfois ça déborde."

Aujourd'hui, Michel Cousin a décidé de s'épancher. Les mots s'échappent de son esprit tortueux comme la vapeur d'une soupape, s'embrouillent, se nouent, vacillent, se noient, et retombent parfois sur leurs pieds dans de brusques sursauts d'enthousiasme. Dans une langue qui n'appartient qu'à lui, ce joyeux désespéré livre au spectateur les petits drames et les bonheurs insignifiants de sa vie.

Tom Pop en concert

Salut à toutes et à tous,

Vendredi 22 octobre à partir de 20h aux Bas Côtés il y a Tom Pop en concert aux Bas Côtés.

Ce spectacle vivant n’utilise ni électricité, ni carburant car il est acoustique et Tom viendra en vélo. L’inspiration a été cultivée sans engrais chimiques ni pesticides. Les chansons ne contiennent pas d’OGM. Ce concert a donc été certifié bio par le label "Décroissons plus pour travailler moins".

Entrée et buffet à prix libre, qu’on se le dise !

A mardi!

salut à toutes et à tous,

Comment vous dire simplement que l'on poursuit le décorticage du monde qui nous entoure avec la revue de presse hebdomadaire ce mardi 19 octobre à 19h, et qu'en plus il y a l'apéro et les trucs à grignoter, comme d'habitude?

Ah ben voilà, c'est dit!

Alors à mardi!

Des livres, des livres, des livres!

Un petit message pour vous signaler l'arrivée aux Bas Côtés d'une flopée de nouveaux livres en librairie. Des nouveautés et des classiques, de la critique sociale, de l'histoire sociale, de la littérature, de l'écologie, y'en aura pour tous les goûts.

A vous de chercher, ou de demander, on trouvera bien un bouquin à vous conseiller!

On nous a dit de vous dire

Salut à toutes et à tous,


Une femme qui a participé à la soirée rencontre avec François Ruffin nous a envoyé ce petit compte rendu. On l'a mis aussi sur Indymedia. Merci à elle. N'hésitez pas à nous transmettre ce genre d'initiative, ça fait plaisir, et puis ça serta à celles et ceux qui ne pouvaient pas assister à la soirée. Et en plus, ça fait vivre notre blog!

A très bientôt!

Mardi 28 septembre, il y avait François Ruffin aux Bas Côtés. J’ai été surprise de voir qu’autant de monde s’était déplacé pour écouter ce monsieur qui était descendu de sa Picardie pour nous parler, non pas du journal Fakir mais de « la lutte des classes et des média ». Il a attaqué bille en tête en nous expliquant que faire son journal, c’était bien, mais qu’il ne fallait pas rester dans la niche de la presse dite « alternative », et qu’il fallait reconquérir les média dominants, ce qui m’a semblé lucide de sa part.

Il a d’abord expliqué qu’il avait longtemps hésité à parler de « lutte des classes », concept qui peut sembler un peu poussiéreux et trop marxisant, mais qu’au vu de son expérience, de ses rencontres, et de son travail de journaliste, il ne pouvait faire autrement pour expliquer correctement ce que nous vivions encore de nos jours, même si pour certaines et certains à cette soirée, on ne voyait pas trop à quoi cela se rattachait. Quelques exemples ont suffit à nous montrer que oui, il y avait bel et bien une lutte des classes en France et dans le monde encore de nos jours. Il a d’ailleurs sorti une phrase de Warren Buffet, l’un des hommes les plus riches du monde qui dit : « La lutte des classes existe, et c’est la mienne, celle des riches, qui la mène et qui est en train de la gagner ». A croire que seuls les dominants savent qu’ils forment une classe aux intérêts communs. Pendant que nous continuons à nous bouffer le nez.

La discussion a été riche et très intéressante, malgré sa longueur. Deux ou trois points m’ont frappé, que j’aimerais faire partager à celles et ceux qui liront ce texte.

Tout d’abord, le fait qui m’a le plus marqué, c’est qu’il semblait qu’il y avait deux gauches ce soir là à débattre. On a pas mal discuter des retraites, et c’est là que le clivage est apparu, même s’il n’est sûrement pas aussi tranché que je vais le décrire. Il s’agit de la séparation entre une gauche « productiviste », prête à se battre pour les retraites sans remettre radicalement en cause le système actuel, c’est-à-dire à agir sur les racines du problème. Il s’agit d’abord de garantir une retraite descente à tout le monde (un million de retraité en France vit sous le seuil de pauvreté aujourd’hui en France, et la grande pauvreté chez les vieilles et les vieux, quasiment éradiqué avec le système de retraite établi en 1944, est en train de réapparaître, nous racontait-on à cette soirée). Et pour cela, il n’est pas besoin de réfléchir à ce que pourrait être une société autre. Il faut se battre tout de suite pour ça.

Une seconde gauche, peut-être plus jeune (du moins, les intervenantes et les intervenants défendant les thèses ce soir-là l’était), disait : « de toute façon, la retraite, on l’aura pas (on a travaillé tard, on gagne peu, on a que des emplois précaires) et on a pas envie de se battre pour ça », avec le sous-entendu que c’était l’ensemble du système qui était à revoir, et que la vie, ma foi, était ailleurs.

Le problème que cela souligne est, à mon sens, le suivant : comment sortir du capitalisme en préservant des services publics corrects ? Ou encore, pour poser le problème en d’autres termes : comment penser la justice sociale et une société descente sans croissance ? Personne à ce jour n’a la réponse, mais cela va être un des gros défis à surmonter si on veut proposer un projet autre que « le plein emploi » comme sortie politique à la crise.

Un autre point abordé a été le divorce entre la classe ouvrière et la petite bourgeoisie intellectuelle, qui sont les deux supports traditionnels de la gauche. On a pas parlé (j’ai pas osé intervenir, je prenais des notes mentalement pour faire ce compte-rendu) du fait que le Front National était devenu le « premier parti ouvrier de France » et que la petite bourgeoisie intellectuelle (cela étant dit sans connotation péjorative par les intervenantes et les intervenants ce soir-là) était plus intéressée par la défense du libéralisme des mœurs (qui, à mon sens, ne fait que renforcer le libéralisme économique, l’un et l’autre étant les deux versants d’une même médaille) que par une réelle lutte anticapitaliste.

Ceci étant posé, il reste la question : comment faire pour que ces deux forces puissent se retrouver et lutter côte à côte contre les dominants ?

Enfin, une jeune femme a exposé ses projets de retour à la terre, ce qui a fait bondir une partie de l’auditoire sur le thème : « tu peux pas t’en sortir toute seule » ou « ça marchera pas ». S’il est vrai que beaucoup de citadines et de citadins fantasment sur un retour à la terre, le débat fait surgir une fois encore le clivage entre gauche productiviste et gauche anti-productiviste. Peut-être que la jeune femme présentait ses idées de façon un peu maladroite, mais elle avait le mérite de le faire.

Là encore, quelques remarques : si le « retour à la terre » (comme on disait il y a 40 ans déjà) est désiré par une partie de la jeunesse (et par de plus anciens), celle-ci ne se berce pas d’illusions, ou moins, que la génération précédente, et cela pour plusieurs raisons. La plus évidente à mes yeux, c’est qu’à l’époque, le chômage n’existait pas. On partait faire pousser des chèvres en Ardèche, sur le Larzac, en Ariège, et si ça ne marchait pas, on revenait avec la certitude de retrouver du boulot en ville. Aujourd’hui, ce genre d’exil vaut déclassement. Et les projets qui se montent à l’heure actuelle de retour à la campagne me semblent un peu plus chiadés que ceux de l’époque, n’en déplaisent à celles et ceux qui ont gardé des années 70 rurales un goût amer.

En tout cas, et pour terminer sur ce point, une chose est sûre : ce genre de projet, s’il est intéressant à titre d’expérimentation, et plaisant à titre personnel, n’est malheureusement pas généralisable, du moins pas dans l’état actuel de la société ni avec l’imaginaire des gens en 2010, bien loin du fameux « an 01 ». Pour faire le parallèle avec ce que me disait un copain paysan bio, fils de paysan conventionnel : « Installer de jeunes agriculteurs en bio, c’est bien, mais ce qu’il nous faut surtout, c’est convertir (le mot n’est pas trop fort) les agriculteurs conventionnels à l’agriculture biologique. Sinon, vu le temps nécessaire, et le ratio entre les deux populations, on y arrivera jamais. »

Je crois que la question qui se pose à l’heure actuelle pour notre société dans son ensemble est bel et bien le même : expérimenter à la campagne ou en ville (avec des lieux « alternatifs », des squats, des SELS, et tout ce que vous voulez) c’est très bien, ça permet d’imaginer d’autres possibles. Mais ce qu’il nous faut, c’est permettre à la plus grande partie de la population de pouvoir avoir à nouveau prise sur son quotidien pour réorienter la société et créer une forme plus descente, plus juste et plus digne de société. Et pour cela, seule la lutte paye !

Résister doit toujours se conjuguer au présent

Salut à toutes et à tous,

Vendredi 1er octobre à partir de 20h, on accueille Olivier Vallade aux Bas Côtés. Il a co-écrit avec d'autres (dont François Ruffin, qu'on reçoit le mardi 28 septembre, et Jean-Luc Porquet du Canard Enchaîné) le livre "Les jours heureux" qui revient sur l'histoire du programme du Conseil National de la Résistance, le CNR. Ce programme, partiellement appliqué au sortie de la seconde guerre mondiale, servira de socle à ce qu'on appelle parfois le pacte social français: Sécurité Sociale, Allocations Familiales, retraites, etc...

En ces périodes de casse sociale généralisée, un bon moyen de se rappeler que le verbe Résister doit toujours se conjuguer au présent.

L'entrée est libre, le buffet sera à prix libre.

Et toujours là le mardi!

Envie d'affuter votre esprit critique?

Envie de savoir ce qui se passe qui ne passe pas dans la presse "mainstream" comme on dit?

Envie de débattre, de s'informer, de découvrir ce qu'on appelle la presse alternative et indépendante, de passer un bon moment?

Eh bien qu'attendez-vous pour vous rendre à la revue de presse des Bas Côtés? Ca se passe tous les mardis à 19h, l'entrée est libre, et cette année y'a même des trucs à grignoter pendant l'apéro!

Une planche, des clous

Salut à toutes et à tous,

Mardi 28 septembre à partir de 20h, c’est l’inénarrable François Ruffin qui ambiancera les Bas côtés (qui résident toujours aux 59 rue Nicolas Chorier, arrêt de tram St Bruno ou bus 32 arrêt D’alembert ou Abbé Grégoire). Pour un petit CV de ce monsieur, sachez qu’il est l’auteur aux Arènes d’un livre intitulé « Les petits soldats du journalisme » (sur les coulisses de la formation des étudiants en journalisme pour leur apprendre à devenir totalement inoffensifs), et qu’il fait aussi des reportages pour l’émission « Là-bas si j’y suis » sur France Inter (émissions disponibles sur http://www.la-bas.org).

Mais surtout, surtout, François Ruffin anime depuis une dizaine d’années maintenant le journal Fakir, journal fâché avec tout le monde ou presque comme l'indique son sous-titre. Initialement, c’était un journal indépendant d’Amiens (dans la Somme, n° de département : 80). Mais depuis quelques numéros, c’est un journal national, que vous pouvez trouver en kiosque, mais aussi chez nous, aux Bas Côtés.

Ce mardi 28 septembre, à partir de 20h, après la revue de presse hebdomadaire, il sera donc présent pour présenter le journal, rencontrer le public, et discuter avec nous.

L’entrée est libre.

Qu’on se le dise !

Des commandes groupées aux Bas Côtés

Envie d'avoir des produits issus de l'agriculture biologique et paysanne de façon simple? Profitez des achats groupés aux Bas Côtés. C'est simple, il suffit de passer ou de nous envoyer un mail (à l'adresse lesbascotes@free.fr), et on vous file le listing des produits, en vous expliquant comment ça marche.

Du sec, du frais, du liquide et du solide, il y aura sûrement qui convient à votre alimentation dans le lot!

Qu'on se le dise!

Rentrée de la revue de presse

Mardi 7 septembre à 19 heures, c’est la rentrée de la revue de presse aux Bas Côtés (59 rue Nicolas Chorier, arrêt de tram St Bruno ou bus 32 arrêt Abbé grégoire ou d’Alembert). Ca fait 4 ans que ça dure, et ça ne s’arrête pas ! Au programme : des articles ou des extraits d’articles issus de cette fameuse presse (CQFD, La décroissance, Revue Z, Le canard enchaîné, Fakir, et on en passe). C’est servi frais à l’heure de l’apéro, avec les commentaires et remarques de l’auditoire.

L’entrée est libre.

C'est ouvert!

voilà vous le savez !

La revue de la presse, encore et toujours

Salut à toutes et à tous,

Qu'on se le dise: la revue de la presse alternative et indépendante continue au mois de juin. Rendez-vous tous les mardis à 19h pétantes, pour des articles de cette presse (Le Postillon, Offensive, La Décroissance, CQFD, Fakir, et bien d'autres encore!) accompagnés des commentaires, contributions et remarques de l'auditoire!

Entrée libre
Salut à toutes et tous

Vous aimez les ambiances musicales cool : chansons swing, jazzy, bossa nova, pop ....
Vous cherchez une alternative à la Coupe du monde de foot ...
Vous voulez éviter l'étape du critérium du Dauphiné Libéré ...
Vous voulez faire le touriste dans la commune libre de Saint Bruno ...

Ne cherchez plus, nous avons pensé à vous, tout est prévu !

Le vendredi 11 juin 2010 à 20H00 aux Bas Côtés, 59 rue Nicolas Chorier

Sous le feu des projecteurs :
Piérine Facchinetti : Chant
Odile Nave : Chant
Gilles Telmon : Sax ténor
Christophe dupont : Piano

A vendredi ... on vous attend, avec le buffet et l'entrée à prix libre.

Deux concerts en un soir, sinon rien!

Salut à toutes et à tous!

On termine le mois de mai en musique! Vendredi 28 mai à 20h : Deux concerts sinon rien. Ben Seultou d’un côté http://www.benseultou.com/ et Lily Lucas de l’autre http://www.myspace.com/lilyluca. Ça se passe aux Bas Côtés (59 rue Nicolas Chorier, arrêt de tram St Bruno), c’est de la chanson, et ça cartonne !

Entrée et buffet à prix libre.

Qu'on se le dise!

Crachons dans la cuvette!

Comme vous ne pouvez pas ne pas le savoir (comme disent les avocats), les Bas Côtés diffusent de la presse indépendante. D'ailleurs, il y a une revue de la presse alternative et indépendante tous les mardis à 19h, mais tout cela, vous le savez déjà.
On apprécie tout particulièrement le travail des membres de l'équipe du journal "Le Postillon" qui existe depuis maintenant un an, et qui s'occupe de nous informer sur ce qui se passe dans la cuvette grenobloise. Mais pourquoi faire ce travail, alors que le monde entier tourne mal? C'est parce qu'il est plus qu'important de s'occuper de ce qui se passe près de chez nous, et ce pour deux raisons:
  1. Ce qui se passe ici se passe partout ailleurs;
  2. Ici, on sait de quoi on parle, puisqu'on y vit. Nous y sommes les experts!
Alors, pour en savoir plus sur ce genre d'aventure, lisez donc l'article ci-dessous: "320 euros, voilà tout le capital nécessaire au lancement d'un petit journal" paru sur le site article11.info

Les Bas côtés à la TSF

C'était lundi 3 mai à 20h sur Radio Campus, 90.8FM. Nous étions invités à participer à l'émission "Comme un lundi". Ils racontent sur leur site qu'ils étaient très contents de la faire, eh bien nous aussi. Le thème: vivre, travailler, produire autrement, bien entendu!

http://www.campusgrenoble.org/-Comme-Un-Lundi,22-.html

Café luddite opus 4: Tapas y luddismo


Jeudi 20 mai, à 19h30, nous vous invitons à notre 4e café luddite avec : Los Amigos de Ludd.

Entrée libre, buffet à prix libre

Le spectre du luddisme hante le monde. En 1995, le revenant casse un ordinateur devant 1500 personnes venues écouter ses imprécations au N.Y. City Town Hall. Ici ou là, des individus, des populations, s’opposent aux avancées des nécrotechnologies, fauchent des chimères génétiques, détruisent des caméras de vidéosurveillance. Il est grand temps que les luddites exposent à la face du monde , leurs conceptions, leurs buts et leurs tendances ; qu’ils opposent aux fables que l’on rapporte sur les luddites un exposé du mouvement lui-même.

"Les Amis de Ludd", c’est un bulletin anti-industriel né à Madrid en 2001, et dont les quatre premiers numéros réunis en volume parurent en français, en 2005. Un deuxième volume contenant les numéros 5 et 6 a suivi en 2009. Depuis "Los Amigos de Ludd" et leur bulletin ont cessé d’exister en tant que tel. Reste une expérience ; des interventions ; une réflexion ; des essais clairs, informés, pénétrants, sur "l’automatisation et la lutte finale", " Les Hackers et l’esprit du parasitisme" ou "George Orwell, critique du machinisme".

Mais pourquoi "Les Amis de Ludd" se sont-ils dispersés ? Quelles leçons tirent-ils de leur activité ? Qu’ont-ils à nous dire, à nous Grenoblois qui depuis dix ans, tachons de comprendre notre technopole et de la démonter : Biopolis-Stade des Alpes- Asiises de Sauvons La Recherche- Minatec- Giant- Sillon Alpin- Nanotechnologies- acceptabilité- vidéosurveillance- Etc...

Nous en débattrons avec un ancien rédacteur de "Los Amigos de Ludd". Venez avec vos amis, vos questions, vos réflexions.

Café luddite de Grenoble

A lire : "Les Amis de Ludd" bulletin d’information anti-industriel n°1 à 4. Editions Petite Capitale

"Les Amis de Ludd" bulletin d’information anti-industriel n°5 et 6. Editions La Lenteur

"La Révolte luddite. Briseurs de machines à l’ère de l’industrialisation. " Kirkpatrick Sale. Editions L’Echappée

Tricotons un concert

Comme les 1er jeudi du mois, café tricot ou on vient pour apprendre et enseigner si on sait.
Et cette fois on peut continuer en écoutant un concert de Son de Bouc.

Jeudi 06 Mai 18H00, Café Tricot

Jeudi 06 Mai 19H00 Son de Bouc en concert,
http://www.myspace.com/sondebouc

Entrée Libre, Buffet prix libre

Cycle Vivre, travailler, produire autrement, opus 4.

Après l'An 01, le logement,l'après pétrole,4ème opus du cycle "Vivre, travailler, produire autrement". Cette soirée sera consacrée au thème de l’alimentation.

Comment ça se passe ? Quelques intervenants présentent rapidement comment ils font pour vivre, travailler ou produire autrement sur le thème proposé, puis on discute toutes et tous ensemble.

Il y aura des éleveurs, des boulangers, des épiciers, des coordinateurs d'AMAP et bien plus encore


Jeudi 29 avril à partir de 20H

Entrée libre, et buffet à prix libre.

Cycle Vivre, Travailer, Produire autrement, bientôt la suite!

Salut à toutes et à tous,

Une sorte de "Cliffhanger" ce message. Juste pour vous annoncer qu'il vous faut réserver votre du jeudi 29 avril à partir de 20h. Le cycle "Vivre, travailler, produire autrement" ouvrira son opus 4 à ce moment. Le thème, les intervenants tout ça dans quelques jours (faut savoir ménager le suspense!).

Qu'on se le dise et répète d'ors et déjà!

Concert Maria Grazia Abatantuono


Vendredi 16 avril,Maria Grazia Abatantuono
Chante Lhasa.
Une voix, une guitare, pour une douce soirée

http://www.myspace.com/mariagraziabatantuono

Vendredi 16 Avril 20H00
Entrée prix Libre, Buffet prix libre


Fenêtre sur cour

Les beaux jours reviennent, et c'est le début de la saison du parasol. Depuis quelques temps déjà, on peut à nouveau manger en terrasse, dans l'arrière-cour, loin de la rue. C'est orienté plein sud, mais désolé, on ne fournit pas encre la crème solaire. Mais si un nuage passe devant le Soleil, on soufflera fort pour le chasser, sans garantie de résultat toutefois!

Les Passeurs


Fragments réinventés de mémoire ouvrière
Poèmes et lettres imaginaires du temps de la soierie
Lecture poétique et musicale
Conçue dans le cadre d’une résidence d’écrivain réalisée avec les habitants
de St Siméon de Bressieux en Isère entre novembre 2008 et avril 2009
De Lyon à St Siméon…, de la révolte des Canuts à l’usine aux champs… une histoire des 1ères délocalisations…

Mots d’ouvriers, mots d’ouvrières, voyage en galère, si on sème, j’écris ma ville, mon village, corbeaux : jalousies, rumeurs et médisances, lettres d’amour de la grande guerre, une usine dans les champs, souvenirs du temps de la soierie… Autant de pistes pour questionner le passé, et en particulier celui des filatures, la condition ouvrière d’hier et d’aujourd’hui, les relations dans une usine ou un village (amitié, solidarité, amour, mais aussi jalousies, querelles et médisances)… et peut-être mieux comprendre la vie et le monde présent.

Les Passeurs,
Yves Béal (lecture), François Thollet (accordéon et chant),
Emmanuel Flacard (vielle électroacoustique), Pascal Thollet (guitares)

Les passeurs sont membres du collectif d’artistes Un euro ne fait pas le printemps. Artistes en provenance d'horizons multiples dont une première intention, outre la transformation du monde, serait d'assurer une transmission vivante du texte poétique et de sa rencontre avec d'autres arts : musiques, photographie, peinture... au moyen de lectures poétiques et musicales. Une seconde intention, portée avec passion, consiste certainement à assumer le partage de la première intention, comme outil de transformation du monde, au moyen d'ateliers de création dans différents domaines artistiques, de l'écriture à la photographie en passant par la chanson ou la musique vocale improvisée.
Morceaux en écoute sur www.myspace.com/lespasseurs
ou http://www.myspace.com/12secondessurterre

Contacts : les.passeurs@uneuro.org ou yvbeal@wanadoo.fr - 06 70 63 58 07 - www.uneuro.org

Vendredi 02 Avril
20H00
Entrée Libre, Prix Libre

www.uneuro.org

Cantine, épicerie, librairie


Si on vous informe des super soirées qui se passent aux Ras cotés,
on vous rappelle aussi que les Bas Cotés c'est une cantine tous les midi avec les produits du marché et tout ça cuisinés avec nos petites mains.
En plus on a une terrasse derrière !, on la voit pas de dehors, on peut y manger des plats délicieux, au soleil et au calme.
Avec en plus l'épicerie où il y a des fruits et légumes. Ce sont des fruits et légumes frais et bio, livrés par des paysans de St Cassien et de Vourey. Il y a aussi du pain, des laitages, de la bière, du miel, de la farine, qui viennent tous du coin (Ste Luce, Bernin, Brié Angonne, Le Gua).
Et en plus de tout ça, il y aussi du sec (riz, pâtes, coulis de tomates, semoule, et j'en passe).

Et avec ceçi , une librairie avec une liste de livres qui vous permette d'être ceinture noire d'auto-défense intellectuelle, la liste est là.
On est ouvert dés 8h00 jusqu'à 14h00 tous les jours et de 18h00 à 20H00 du mardi au vendredi

Mardi soir, c'est la revue de presse

Eh oui, on est encore là, prêts à foutre le souk et tout le monde est cor-da, comme disait l'autre. Et vous? Prêts à affuter vos arguments, à entendre autre chose, d'autres points de vue? Si c'est le cas (et vue l'affluence, on sait qu'il y a ça l'est, le cas), rendez-vous mardi 23 à partir de 19h pour la revue de la presse alternative et indépendante.

En plus, c'est à l'heure de l'apéro, ce qui ne gâche rien.

Et En plus, si vous pouvez pas venir ce mardi là, c'est tous les mardis, c'est-y pas beau ça?

Et cerise rouge sur le gâteau bio, l'entrée est libre. Ouais, gratos m'sieur dames. Et il y en aura pour tout le monde.

Si après ça, vous venez pas...

Pour poursuivre la réflexion...

Suite à une remarque bienvenue vendredi soir à l'issue de la soirée du cycle "Vivre, travailler, produire autrement", voici quelques notes bibliographiques pour continuer sur le thème de l'après-pétrole.

Le n° 365 de la revue Silence avait son dossier sur le réseau international des villes en transition.

Ivan Illich bien entendu, que l'on doit lire et relire, notamment, sur ce thème: Energie et équité. Et son classique: La convivialité.

On nous a demandé comment Les Bas Côtés avaient été créé. Pour connaître un peu les coulisses, ce qui se passait un peu avant, en souterrain: http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=98

Pour le reste, cela sera probablement publié sous forme de commentaire par les particpantes et les particpants eux-mêmes.



Cycle vivre travailler produire autrement

Quatrième soirée du cycle "Vivre, Travailler, Produire autrement". Selon les thèmes, des invités viendront discuter avec le public la façon dont ils vivent, travaillent ou produisent autrement.

Ce quatrième opus sera consacré à l’après pétrole. Deux intervenants sont déjà certains: Survie Isère et le P’tit vélo dans la tête.


http://survie.isere.free.fr/

http://www.ptitvelo.net/

http://aprespetrole.unblog.fr/


Vendredi 19 mars, 20h00
Cycle vivre travailler produire autrement, opus 4 l'aprés pétrole
L’entrée est libre, le buffet sera à prix libre.

Gros Câlin


La troupe Papier de Verre-théâtre pour drôles d’endroits présente Gros Câlin de Romain Gary aux Bas Côtés

"J’ai toujours voulu avoir quelque chose en commun. C’est les années d’habitude, à cause du manque, qui font ça. Mais il y a la répression intérieure pour ne pas déborder en société, comme il faut pour vivre dans une immense cité sans se gêner. Seulement parfois biens sûr ça déborde."

http://www.myspace.com/papierdeverre

Vendredi 12 mars à partir de 20h,

Entrée et buffet à prix libre.

Concert Bourée de complexes


Bourrée de complexes, c'est un duo qui chante Boris Vian.
Oui le gars qui a écrit "l'écume des jours", "l'arrache-cœur" ou "j'irai cracher sur vos tombe"
et bien en plus d'être trompettiste, il chantait des chansons.
Et certaines ont la bonne idées de ne pas nous les faire oublier.
Bourrée de complexes
vendredi 05 mars à 20h00.
Entrée et buffet prix libre.

Du nouveau en librairie


Les Bas Côtés sont une librairie, pour celles et ceux à qui ça aurait echappé.
Un nouvel arrivage est en place, avec des éditeurs que nous n'avions pas:
Point seuil, caterman, j'ai lu, folio, fluide glacial.

la liste est là!

Au plaisir de vous retrouver

Ceux qu'il faut découvrir


C.Q.F.D, ça peut vouloir dire ce qu'il faut démontrer, démonter, découvrir, détruire, discuter, disputer.
C'est aussi un journal mensuel né a Marseille mais qui parle d'autre chose que de foot et de pastis.
Ils seront là en chair et os le jeudi 18 Février a 20h00 pour expliquer comment ils travaillent et voir comment on lit.
http://www.cequilfautdetruire.org/

Jeudi 18 Février 20H00 Entrée et Buffet prix libre

Café luddite de Grenoble


Vendredi 5 février 2010 à 20 heures, à la Maison des Associations (5 rue Berthe de Boissieux, à Grenoble)
Café luddite de Grenoble, aux Bas Côtés

pour une conférence et une discussion avec l’historien François Jarrige, autour de son livre « Face au monstre mécanique, une histoire des résistances à la technique (Editions IMHO, 2009).

Les luddites constituent le courant le plus méconnu et le plus calomnié du mouvement ouvrier. Entre 1811 et 1813 ces briseurs de machines immobilisèrent dans trois comtés d’Angleterre une armée plus importante que celle déployée contre Napoléon au Portugal. Les Luddites, ouvriers et artisans qualifiés, à domicile, ne se battaient ni pour le « pouvoir d’achat », ni contre « la concurrence des machines », mais pour la liberté, l’autonomie des ouvriers et de leurs communautés villageoises « face au monstre mécanique » et à l’esclavage de la nouvelle caserne industrielle, avec ses chefs, ses journées de travail forcé, stupide et avilissant, et ses produits dégradés.
Le meilleur de la contestation écologiste et libertaire se retrouve dans l’héritage luddite à travers l’opposition au nucléaire, à l’informatique, aux chimères génétiques, aux nanotechnologies, etc. , ainsi qu’en témoigne l’annulation imposée de la réunion de promotion des nanos, le 1er décembre dernier, à l’Alpexpo.
Le livre de François Jarrige rapporte de multiples exemples de résistance à la tyrannie industrielle, en France et dans le monde, des origines à nos jours, et plus ignorés encore que l’épopée des luddites britanniques.

Venez avec vos amis, vos questions, vos idées et réflexions.

Tête à Clique

Tête à clique, "chansons à prétexte" comme ils
disent, et ils n'ont pas tort.

Vendredi 29 janvier à 20h
Entrée et buffet à prix libre.

Cycle vivre, travailler, produire autrement


Enric Duran ça vous parle?
C'est un catalan quia emprunté 500 000 €
a différente banqueset établissement de crédit
sans aucune envie de rembourser.

Cela afin de financer un journal "Crisi".
Avec des idées pour sortir
de ce système
productiviste.
Car c'est possible, avec de l'envie
de l'imagination et beaucoup
d'huile de coude!
Il sera le 15 janvier aux Bas Cotés

et le 16 à Antigone.

Des liens pour en savoir plus:
http://www.17-s.info/
Le journal cqfd,
a écrit souvent sur lui,

en recherche, mot clé: Enric Duran
http://www.cequilfautdetruire.org/

Vendredi 15 janvier 20h:

"Cycle Vivre, travailler, produire autrement opus 3".

Entrée libre et Buffet prix libre


concert Alamanon

1er Concert de L'année!
Alamanon en concert,  trio de chanson française.
Vendredi 08 Janvier 20h00 Entrée Libre et Buffet Prix libre

Café tricot

Comme tous les 1er jeudi du mois
Café Tricot pour ceux-lles qui savent et ceux-elle
qui veulent apprendre.
Jeudi 07 Janvier 18h30 Entrée Libre

2010, l'année de ...

Les années passent mais Les Bas Cotés restent.
Pour démarrer cette année, du classique, la revue de la presse alternative et indépendante.
Vous voulez savoir en quoi consiste la république de héritiers? Alors venez..
Mardi 5 Janvier
19H00
Revue de Presse
Entrée Libre